Cratère du Villarica
Pour ceux qui en redemande (coucou Nathou !), nous avons rechaussé nos chaussures de randonnée, fui les agences touristiques, franchi les barrières de la CONAF (réserve naturelle) pour grimper sur les volcans Villarica et Llama. Deux petites merveilles. La grande différence est l'affluence touristique : 300 gringos sur le premier , 2 (nous) sur l'autre. Seuls, nous avons pleinement profité de la tranquillité qui reignait sur le magnifique dôme du volcan Llama. Sans carte, la descente s'est avérée beaucoup moins drôle car on s'est retrouvé sur une coulée de lave sèche. Une vrai galère, il nous a fallu 4 heures pour atteindre la forêt où nous avons enfin pu planter notre tente ... à minuit ! En voyage les situations changent rapidement. Une voiture passe avec un homme et une vieille femme tous deux coiffés de beaux chapeaux. En quelques minutes, nous n
ous sommes retrouvés dans leur propriété, Alex déchargeant du bois et du fumier pendant que Janita m' apprenait à faire le traditionnel pan de Pasqua. De la maison, une tasse de thé chaud à la main, nous attendions avec impatience l'éruption du volcan tout proche. Malheureusement, elle n'a
pas eu lieu. Déçus, on a refait nos sacs à dos. Le sud du Chili c'est fini pour nous. Ce soir nous prenons un bus, demain nous nous réveillerons à Santiago, où nous attendent nos chaussures de tango...
Cratère du Villarica 
Pour ceux qui en redemande (coucou Nathou !), nous avons rechaussé nos chaussures de randonnée, fui les agences touristiques, franchi les barrières de la CONAF (réserve naturelle) pour grimper sur les volcans Villarica et Llama. Deux petites merveilles. La grande différence est l'affluence touristique : 300 gringos sur le premier , 2 (nous) sur l'autre. Seuls, nous avons pleinement profité de la tranquillité qui reignait sur le magnifique dôme du volcan Llama. Sans carte, la descente s'est avérée beaucoup moins drôle car on s'est retrouvé sur une coulée de lave sèche. Une vrai galère, il nous a fallu 4 heures pour atteindre la forêt où nous avons enfin pu planter notre tente ... à minuit ! En voyage les situations changent rapidement. Une voiture passe avec un homme et une vieille femme tous deux coiffés de beaux chapeaux. En quelques minutes, nous n
ous sommes retrouvés dans leur propriété, Alex déchargeant du bois et du fumier pendant que Janita m' apprenait à faire le traditionnel pan de Pasqua. De la maison, une tasse de thé chaud à la main, nous attendions avec impatience l'éruption du volcan tout proche. Malheureusement, elle n'a
pas eu lieu. Déçus, on a refait nos sacs à dos. Le sud du Chili c'est fini pour nous. Ce soir nous prenons un bus, demain nous nous réveillerons à Santiago, où nous attendent nos chaussures de tango...
Hello!
RépondreSupprimerJe suis subjuguée par toutes ces magnifiques photos ! c'est tellement varié, grandiose et coloré! Une mention spéciale pour le désert et la Patagonie! Moi aussi je veux y aller! Prenez moi avec vous!...Au fait, bonne année !!! En tout cas, ça a bien commencé!...
Je pense fort à vous et m'évade grace à vous!
Je suis fan!
A bientôt Nathou
Salut, c'est Nathou! je vous avez un peu perdu de vue....mais ne suis pas déçue d'être de retour! Je voyage gratos et pour pas un rond! C'est un vrai régal, et qu'est-ce que je vous envi! Ya quoi après Bancok ? Enormes bisous !
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